En référence au traumatisme du Maracana, ou "Maracanaço", consécutif à la défaite de l'équipe de football brésilienne contre l'Uruguay en finale de la Coupe du monde de 1951, A. Dapieve imagine un échange chaotique entre deux supporters. Violeta, une Chilienne dont la famille a subi la dictature militaire, rencontre un jeune Espagnol marqué par le franquisme