
Il était temps ! Oui, il était temps que la phrase qu’il avait prononcée dans le tumulte triomphant d’un huitième de finale de Coupe du Monde entre la Belgique et le Japon trouve son prolongement par écrit. Voilà : on y est. L’exercice auquel Philippe Albert se livre est d’autant plus précieux, inédit aussi que l’homme est économe de ses mots. En clair : il ne parle jamais pour ne rien dire. Mais que raconte-t-il…