Blue Lock
Avis de la rédaction Quand on a vu qu’un nouveau manga sur le football allait sortir, on a dans un premier temps été sceptique : « Encore un ? » a-t-on certainement prononcé. Mais, quand on a pu ...
Avis de la rédaction
Quand on a vu qu’un nouveau manga sur le football allait sortir, on a dans un premier temps été sceptique : « Encore un ? » a-t-on certainement prononcé. Mais, quand on a pu lire le résumé de cette nouvelle série, on a été étonné. Nous avons eu l’occasion de lire les deux premiers tomes de cette série qui vient de paraître en français, et qui compte au moment où l’on rédige ces lignes 14 volumes au Japon.
Blue Lock est une prison d’azur, pour former le grand avant-centre japonais que le pays attend, dans le but de remporter un jour la Coupe du monde. 300 jeunes, qui sont tous attaquant, sont donc invités à rejoindre ce programme. Parmi eux, un seul sera retenu au cours de la sélection. À leur arrivée, leur niveau est évalué, du meilleur — portant bien évidemment le numéro 1 —, au moins bon — portant le numéro 300. Chaque épreuve est éliminatoire.
On suit Yoichi Isagi, qui devrait donc progresser pour être amené à devenir cet attaquant numéro 1. Comme il s’agit d’un shônen, vous vous doutez bien que Yoichi n’est pas le mieux classé au début de cette série.
Certes, comme nous l’avons dit au début, il s’agit d’un nouveau manga sur le football. Mais celui-ci est très original, s’appuyant sur des codes shônen très fort, et surtout, sur ce principe du Battle Royal : une centaine de candidats doivent s’éliminer, jusqu’à qu’il n’en reste qu’un seul. Ce n’est pas quelque chose de nouveau dans le manga, mais donne un nouvel intérêt à une histoire sur le football. Les premières épreuves que nous avons pu lire ne sont pas très originales, puisqu’il s’agit globalement de matchs de football lambdas qui élimineront des équipes. Néanmoins, j’ai le sentiment que, pour une fois, la tactique est bien mise en avant et les joueurs ont des réflexions plutôt logiques (je pense à toi, Tsubasa, qui montait sur la barre transversale pour contrer tes adversaires…)
On doit avouer que l’on est très emballé par l’histoire : envie de connaître les nouvelles épreuves, de savoir qui va rester, de voir les nouveaux protagonistes (ou antagonistes…). Comme l’immense majorité des mangas, on tourne les pages sans s’arrêter.
Les deux premiers tomes se dévorent en peu de temps.
Bref, que du bon !